visuel générique projet

Extension et modernisation de l’UPEP de Manosque Précombaux

Missions
  • Définition des filières envisageables, rédaction du
    programme fonctionnel détaillé,
  • Assistance et suivi des prestataires extérieurs,
  • Conception et étude des filières de traitement envisageables,
  • Définition du cadre règlementaire de la construction de cette nouvelle usine (autorisations nécessaires, délais impartis..),
  • Rédaction du Dossier de Consultation des Entreprises,
  • Analyse des offres,
  • Suivi des travaux,
  • Participation aux AOR.

Les communes de Manosque, Montfuron et Pierrevert sont actuellement desservies en eau potable via deux sites de production : l’usine de
production de Précombaux, à Manosque, dont l’eau brute provient du canal EDF, le champ captant du Mont d’Or.

A horizon 2030, l’usine devra alimenter une partie des communes du Val de Durance et du Nord Est de Manosque. Afin d’assurer ces futurs besoins et pallier au risque de pollution lié à la ressource majoritaire actuelle, le canal EDF, DLVA a signé une convention d’achat d’eau du Verdon avec la SCP.
La nouvelle usine de potabilisation de Précombaux ervira d’une part, à augmenter la capacité de production, qui arrive aujourd’hui à sa limite, mais
aussi à puiser dans une source de meilleure qualité et à risque de pollution moins élevé.
Cette nouvelle usine devra être en mesure de traiter, en tranche ferme, 170 l/s en livraison normale. Le process de traitement retenu sera
l’ultrafiltration afin de garantir une eau de qualité irréprochable et s’assurer de la pérennité de cette qualité avec les évolutions règlementaires.
Le projet comprend également l’extension et la remise à niveau de l’usine actuelle pour traiter en  complément 120l/s de capacité de secours via la
filière EDF ou la filière Verdon.

Thématique de renforcement et sécurisation :

Le projet traite simultanément la thématique renforcement et la thématique sécurisation sur le territoire de DLVA.
Afin d’assurer une production suffisante pour la demande en pointe estivale à l’horizon 2030, les deux filières doivent pouvoir fonctionner simultanément à hauteur de 290l/s sur la ressource Verdon.

En termes de sécurisation, le process de l’usine actuelle réhabilitée doit permettre de traiter l’eau du canal EDF à hauteur en cas de défaillance sur la
ressource Verdon dans le respect des normes sanitaires en vigueur.

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