Véritable aventure humaine, le projet du Grand Paris Express combine multiplicité des compétences mises en œuvre, capacité à travailler, et avancer ensemble. Se situant parmi les premières ingénieries de la révolution des transports, setec se charge de la maîtrise d’œuvre d’infrastructures de projets menés par la Société du Grand Paris. Par ses actions, il contribue à un projet citoyen d’utilité publique qui améliorera la qualité de vie des habitants de toute la région Île-de-France.Le principal objectif de ce projet reste l’amélioration du mode de vie des usagers des transports en commun, et la facilitation à leur accès. Christophe Narduzzi (setec its) explique que « nos déplacements en Île-de-France vont changer », grâce à ce défi qu’il juge « extrêmement challengeant ». Julie Lelandais (setec ferroviaire) insiste sur le fait que « la finalité consiste à rendre service au public ».

Une dimension collective forte Les valeurs de solidarité, de complémentarité et d’objectif commun lient tous les acteurs du projet. Léonie Agnese (setec ferroviaire) souligne l’apport du « savoir-faire du groupe au cœur des équipes projet », ainsi que des équipes chantier de leur client. Véronique Le Mestre met en avant le mérite individuel de chaque participant au projet : « Chaque personne travaillant sur ce chantier a été mise à l’honneur.

C’est un travail collectif, tout le monde participe ». La valeur d’objectif commun est quant à elle mise en lumière par Jean Sousa (setec tpi) : « nous regardons tous dans la même direction ». La coordination du groupe a également une grande importance, car c’est de celle-ci que découlent des résultats probants. C’est pour cela que Vincent Duroy (setec organisation) prend cette mission à cœur, et confie qu’il se sent comme un « véritable chef d’orchestre ».Une des clés de réussite du projet se trouve à travers l’association de collaborateurs aux compétences diverses, que cela concerne les finances ou encore la gestion des chantiers.

En effet, si Christophe Martineau (setec organisation) nous parle d’un projet qui requiert « les compétences les plus pointues en matière de gestion des coûts des grands projets », Yamina Adane (setec organisation) mentionne la « mission d’anticipation » nécessaire à gérer les nombreux besoins du chantier, les tâches et les réunions.

Des enjeux sociaux et environnementaux majeurs L’aboutissement du Grand Paris Express induit une prise de conscience vis-à-vis des enjeux environnementaux et sociaux de notre époque. Chafika Bekhaled (setec its) annonce un « projet positif qui va désengorger les transports en Île-de-France » et qui pousse à toucher à « des problématiques émergentes, l’environnement ou la performance énergétique ». Fabien Crozat (setec its) parle d’une « solution utile et écologique permettant de répondre aux besoins de déplacements de nos concitoyens ». La complexité de ce projet amène ses acteurs à se dépasser et à utiliser de nouvelles méthodes de travail, de nouveaux outils et à travailler davantage sur les R&D. Jean-Baptiste Avril (setec tpi) explique une gestion d’une « quantité impressionnante de réseaux dans très peu d’espace », où prendre en compte la dimension environnementale n’est pas une option.

La gestion des problématiques environnementales liée au projet est obligatoire pour le groupe. Elle consiste en la mise en avant des mesures environnementales, au respect des engagements, à la gestion des déchets, à la protection des habitats naturels ou à la gestion de l’eau. Selon Camille Vassal (setec international), c’est une réelle préoccupation : « Nous veillons à faire respecter les engagements environnementaux ».

setec face à de nombreux challenges Le Grand Paris Express est un projet non pas sans contraintes. Cependant, grâce aux multi-expertises des acteurs setec, le groupe peut y apporter des réponses. Aléas géologiques, déchets, planning serré, profondeur font partie des nombreuses problématiques à gérer. Fabien Perthuis (setec bâtiment) parle de « la nécessité d’assurer un minimum d’impact environnemental », via par exemple la gestion des déblais. Isabelle Moulin (lerm) rappelle le problème des 43 millions de tonnes de terres excavées du Grand Paris, qui pose des problèmes de logistique. Heureusement, le lerm a pu apporter à ce problème son expertise des matériaux ainsi que ses méthodes d’analyse.

Autre enjeu important : la complexité de interfaces sur lesquelles le groupe travaille. Paule Roux (setec organisation) signale des ensembles « extrêmement complexes » qui « représentent un véritable challenge ». Setec doit prendre en compte le tryptique coûts-délais-risques étant donné la longueur et la complexité des projets à sa charge. Selon Arnaud Delga (setec tpi), le groupe doit « réussir à donner au maître d’ouvrage une vision et une compréhension parfaite de l’équilibre entre ces trois thématiques indissociables », cela dans « le respect de l’équilibre de ces valeurs ».

L’ambition en termes d’innovation du groupe setec est une plus-value importante pour ses clients. En effet, Claire Defargues (setec ferroviaire), directrice de projet sur la gare de Nanterre pour la ligne EOLE et sur la zone C de la liaison CDG Express, parle de sa mission qui vise à « proposer des méthodologies pour développer des technologies innovantes ». Le groupe couple cet esprit d’innovation « en mouvement perpétuel » avec un esprit de groupe proéminant : « Nous réussissons à monter des équipes intégrées, à penser groupe ».   Pour avoir accès à l’article dans son intégralité, vous pouvez le consulter ici.